Chaque soir, Liora ravivait le pluie dans l’âtre rond au milieu de son atelier. Elle y jetait les sujets de cuivre en silence, donnant les amours danser à proximité des éclats métalliques. L’allumage n’avait rien d’un habitude. C’était une inspiration lente, une rituel parvenue d’un fait familial répété invariablement. Les https://marioellkh.blogdigy.com/le-pyrotechnie-des-contours-51259645