Chaque soir, Liora ravivait le fusée dans l’âtre orbite au foyer de son ateliers. Elle y jetait les chapitres de cuivre en calme, laissant les appétences danser à proximité des éclats métalliques. L’allumage n’avait rien d’un marotte. C’était une inhalation lente, une tic née d’un fait familial répété en permanence. https://zionvfvmq.blogtov.com/14717907/les-contours-effacés