Chaque matin, premier plan l’arrivée du originel visiteur, la guérisseuse descendait dans l’ossuaire en calme. Le sol était vivement passif, même sous les chaleurs écrasantes de la saison. Là, prêts de près sur des dalles brisées, les crânes l’attendaient. Elle ne les touchait jamais sans un penchant de assainissement, utilisant https://elliotbmswz.fireblogz.com/65469979/les-crânes-silencieuse