La lumière matinal s’étendait délicatement sur les toits d’Istanbul, mais dans l’atelier d’Elif, ce n’était pas la clarté qui guidait les déplacements. Le macrocosme y vibrait autrement, via les reliefs, les textures et les sons ténus du silence. Dès les premières heures habituels, les voyances commençaient à bien affluer sur https://martinjtybe.aboutyoublog.com/37941134/la-superficie-et-l-ombre