Le carnet du soldat, désormais noirci de notes fiévreuses, reposait tangent de la radio. Il avait passé l'obscurité à se souvenir une faille dans le message admis, à démonter mentalement chaque changement de la transmission. Le sobriquet entendu était le sien, persistant d’un code qu’il avait noté sur la couverture https://charliehubhl.blogrenanda.com/40191319/le-nombre-froid