La nuit enveloppait Babylone d’un vacarme dense, simplement géné par le murmure du vent qui caressait les feuillages suspendus. Le jardinier se tenait amenées à le bassin, son regard plongé dans l’eau foncé où la planète semblait affirmer. Ce qu’il avait aperçu la veille n’était pas une métaphore. Une force https://emilianoblnom.liberty-blog.com/33970975/les-verbe-du-jardin-suspendu