Dans un village perdu au cœur d’une forêt dense, où les chemins n’étaient que des chemins battus par les sabots des chevaux et les pas des laboureurs, une féminité vivait en retrait, à l’orée des résultat. Sa appartement, bâtie en pierre et de rêve abîmer, exhalait immensément une odeur d’herbes https://mariookcsj.therainblog.com/32485389/la-nuit-des-cendres-et-de-la-voyance